Pour une grande majorité des patients, les recours en cardiologie et gastro-entérologie font suite à une recommandation (70%) ; suivent les consultations en rhumatologie et en ORL (60%) puis en dermatologie (40%).
Dans l’ensemble, 80% des patients consultent leur médecin traitant avant un spécialiste même si 40% ne jugent pas cela utile.
Depuis la mise en place de ce dispositif, les praticiens des spécialités dont l’accès est devenu indirect estiment que leurs pratiques ont été rendues plus difficiles.