Résumé
Au cours des mois de mai et juin 2020, les participants au quatrième Panel d’observation des pratiques et des conditions d’exercice en médecine générale de la DREES ont été interrogés sur leur activité pendant la semaine du 11 mai 2020, au sortir du confinement lié à l’épidémie de Covid-19.
Pendant cette semaine, le nombre de consultations par jour marque une reprise de l’activité, mais plus de la moitié des médecins généralistes déclarent encore une baisse du volume horaire hebdomadaire par rapport à une semaine ordinaire de travail. Cette baisse est cependant moindre que pendant le confinement, et estimée, en moyenne, entre 3 % et 7,5 % – contre 13 % et 24 % pendant la première quinzaine d’avril.
Pour la grande majorité des médecins (9 sur 10), les consultations ayant pour motif le coronavirus représentent moins de 25 % de leur activité pendant cette période. Parallèlement, un certain rattrapage est observé pour les consultations liées à des maladies chroniques (pour suivi ou complications), alors que les demandes de soins liés à la santé mentale restent plus fréquentes qu’en temps normal. Encore près de la moitié des médecins estiment que les suivis pédiatriques sont moins fréquents qu’à l’habitude.
Pendant cette semaine, le nombre de consultations par jour marque une reprise de l’activité, mais plus de la moitié des médecins généralistes déclarent encore une baisse du volume horaire hebdomadaire par rapport à une semaine ordinaire de travail. Cette baisse est cependant moindre que pendant le confinement, et estimée, en moyenne, entre 3 % et 7,5 % – contre 13 % et 24 % pendant la première quinzaine d’avril.
Pour la grande majorité des médecins (9 sur 10), les consultations ayant pour motif le coronavirus représentent moins de 25 % de leur activité pendant cette période. Parallèlement, un certain rattrapage est observé pour les consultations liées à des maladies chroniques (pour suivi ou complications), alors que les demandes de soins liés à la santé mentale restent plus fréquentes qu’en temps normal. Encore près de la moitié des médecins estiment que les suivis pédiatriques sont moins fréquents qu’à l’habitude.