Résumé
En France, fin 2018, selon le Baromètre d’opinion de la DREES qui interroge plus de 3 000 personnes, une personne sur quatre a souvent du mal à boucler ses fins de mois. De même, une sur quatre aurait beaucoup de mal à faire face à une dépense imprévue de 500 euros. La moitié de ces personnes ont un emploi.
Les situations d’insécurité financière touchent particulièrement les ouvriers et employés : un tiers d’entre eux affirment avoir souvent des difficultés pour boucler leurs fins de mois et un quart s’estime pauvre, alors que ces situations affectent moins d’une personne sur dix parmi les cadres et professions intermédiaires. Avoir des revenus variables d’un mois sur l’autre constitue un facteur aggravant du sentiment d’insécurité économique : c’est le cas d’un ouvrier et employé sur quatre pour à peine un cadre et profession intermédiaire sur six.
Les retraités font un peu moins souvent part d’insécurité financière que les actifs (un sur six a souvent du mal à boucler ses fins de mois). Les écarts observés sur ces questions par rapport aux actifs restent toutefois globalement de faible ampleur. Parmi les retraités non propriétaires de leur résidence principale, deux personnes sur dix se disent très pessimistes pour leur avenir personnel (contre une personne sur dix chez les autres retraités).
Les situations d’insécurité financière touchent particulièrement les ouvriers et employés : un tiers d’entre eux affirment avoir souvent des difficultés pour boucler leurs fins de mois et un quart s’estime pauvre, alors que ces situations affectent moins d’une personne sur dix parmi les cadres et professions intermédiaires. Avoir des revenus variables d’un mois sur l’autre constitue un facteur aggravant du sentiment d’insécurité économique : c’est le cas d’un ouvrier et employé sur quatre pour à peine un cadre et profession intermédiaire sur six.
Les retraités font un peu moins souvent part d’insécurité financière que les actifs (un sur six a souvent du mal à boucler ses fins de mois). Les écarts observés sur ces questions par rapport aux actifs restent toutefois globalement de faible ampleur. Parmi les retraités non propriétaires de leur résidence principale, deux personnes sur dix se disent très pessimistes pour leur avenir personnel (contre une personne sur dix chez les autres retraités).