Résumé
Partant d’un haut niveau de santé perçue, les cadres sont moins susceptibles de voir leur santé s’améliorer entre 2006 et 2010. De fait, 6 % d’entre eux déclarent une telle amélioration durant cette période, contre 8 % des ouvriers. Cependant, l’évolution de la santé des cadres est globalement plus favorable que celle des ouvriers, puisqu’ils sont moins nombreux à déclarer une détérioration de leur santé entre 2006 et 2010 (8 % contre 15 %).
À état de santé général et caractéristiques individuelles comparables en 2006, les cadres et les professions intermédiaires ont moins de chances que les ouvriers de connaître une dégradation de leur santé perçue quatre ans plus tard.