Résumé
Entre 2011 et 2015, la dépense de santé, tous financeurs confondus, telle que retracée par la consommation de soins et de biens médicaux (CSBM), a progressé de 8,9 %.
Plus de la moitié de cette croissance s’explique par des facteurs démographiques : l’accroissement de la population pour un quart, et son vieillissement pour un autre quart. Le reste de la croissance tient à l’ensemble des autres facteurs influant sur la dépense de santé : modifications de comportement des assurés et des professionnels de santé, avancées techniques et innovations, évolution de la réglementation, etc.
Le reste à charge des ménages après intervention de l’assurance maladie obligatoire a progressivement diminué en proportion de la CSBM entre 2011 et 2015, de 1 point au total. La moitié de cette baisse tient au vieillissement de la population, à l’accroissement de la prévalence des affections de longue durée (ALD) à âge donné et, pour les personnes touchées par une ALD, à l’augmentation de la part de leur consommation de soins en lien avec cette ALD.
Plus de la moitié de cette croissance s’explique par des facteurs démographiques : l’accroissement de la population pour un quart, et son vieillissement pour un autre quart. Le reste de la croissance tient à l’ensemble des autres facteurs influant sur la dépense de santé : modifications de comportement des assurés et des professionnels de santé, avancées techniques et innovations, évolution de la réglementation, etc.
Le reste à charge des ménages après intervention de l’assurance maladie obligatoire a progressivement diminué en proportion de la CSBM entre 2011 et 2015, de 1 point au total. La moitié de cette baisse tient au vieillissement de la population, à l’accroissement de la prévalence des affections de longue durée (ALD) à âge donné et, pour les personnes touchées par une ALD, à l’augmentation de la part de leur consommation de soins en lien avec cette ALD.