Résumé
Le nombre de médecins en activité devrait être quasiment stable entre 2016 et 2019, puis repartir à la hausse dès 2020, dans l’hypothèse d’un maintien des comportements actuels des médecins et de la législation en vigueur.
Les effectifs de généralistes évolueraient de manière moins dynamique que ceux des spécialistes. Ces derniers bénéficient, en effet, davantage des installations de médecins diplômés à l’étranger. L’exercice libéral exclusif devrait poursuivre son déclin, au profit du salariat et de l’exercice mixte.
La féminisation et le renouvellement des générations de la population des médecins libéraux devraient conduire à une baisse de l’offre globale de soins d’une ampleur plus importante que celle des effectifs. Parallèlement, en raison du vieillissement de la population, les besoins de soins devraient augmenter plus rapidement que le nombre d’habitants. Une fois tous ces paramètres combinés, l’offre médicale devrait croître moins vite que la demande, au cours des dix prochaines années.
Les effectifs de généralistes évolueraient de manière moins dynamique que ceux des spécialistes. Ces derniers bénéficient, en effet, davantage des installations de médecins diplômés à l’étranger. L’exercice libéral exclusif devrait poursuivre son déclin, au profit du salariat et de l’exercice mixte.
La féminisation et le renouvellement des générations de la population des médecins libéraux devraient conduire à une baisse de l’offre globale de soins d’une ampleur plus importante que celle des effectifs. Parallèlement, en raison du vieillissement de la population, les besoins de soins devraient augmenter plus rapidement que le nombre d’habitants. Une fois tous ces paramètres combinés, l’offre médicale devrait croître moins vite que la demande, au cours des dix prochaines années.