Résumé
Durant l’année 2000, les 830 secteurs de psychiatrie générale ont suivi plus d’un million de patients. Ce nombre est en augmentation régulière de près de 5 % par an, soit 11 % depuis 1997 et 62 % depuis 1989.
Entre 1989 et 2000, les structures ont évolué, avec une diminution de 49 % du nombre de lits d’hospitalisation à temps plein, un fort développement des centres d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP) et un meilleur accès aux centres médico-psychologiques (CMP) dont tous les secteurs sont maintenant équipés.
Les soins sont désormais réalisés à 85 % en ambulatoire, et le nombre de patients suivis à temps partiel a doublé en 12 ans. Le nombre de personnes hospitalisées a toutefois légèrement augmenté, mais les hospitalisations tendent à être plus courtes (la durée moyenne d’hospitalisation est ainsi passée de près de 86 jours en 1989 à 45 en 2000).
Selon le type d’établissement auquel sont rattachés les secteurs, le taux de recours aux soins psychiatriques peut sensiblement varier, ainsi que les modalités de prise en charge des patients. L’hospitalisation à temps plein reste à cet égard plus importante dans les secteurs rattachés à des établissements spécialisés.
En matière d’accueil, les délais d’attente pour un premier rendez-vous sont inférieurs à un mois dans 82 % des secteurs et, dans la plupart des cas, un référent assure le suivi des patients. 85 % des secteurs développent également des dispositifs spécifiques en cas d’urgence.
La psychiatrie de liaison est en outre pratiquée par trois secteurs sur quatre, et la moitié des secteurs participent aux urgences de l’hôpital général.
Enfin, la quasi-totalité des secteurs sont en relation avec les médecins traitants des patients, mais ces relations sont plus fréquentes lorsqu’il s’agit de psychiatres.
Entre 1989 et 2000, les structures ont évolué, avec une diminution de 49 % du nombre de lits d’hospitalisation à temps plein, un fort développement des centres d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP) et un meilleur accès aux centres médico-psychologiques (CMP) dont tous les secteurs sont maintenant équipés.
Les soins sont désormais réalisés à 85 % en ambulatoire, et le nombre de patients suivis à temps partiel a doublé en 12 ans. Le nombre de personnes hospitalisées a toutefois légèrement augmenté, mais les hospitalisations tendent à être plus courtes (la durée moyenne d’hospitalisation est ainsi passée de près de 86 jours en 1989 à 45 en 2000).
Selon le type d’établissement auquel sont rattachés les secteurs, le taux de recours aux soins psychiatriques peut sensiblement varier, ainsi que les modalités de prise en charge des patients. L’hospitalisation à temps plein reste à cet égard plus importante dans les secteurs rattachés à des établissements spécialisés.
En matière d’accueil, les délais d’attente pour un premier rendez-vous sont inférieurs à un mois dans 82 % des secteurs et, dans la plupart des cas, un référent assure le suivi des patients. 85 % des secteurs développent également des dispositifs spécifiques en cas d’urgence.
La psychiatrie de liaison est en outre pratiquée par trois secteurs sur quatre, et la moitié des secteurs participent aux urgences de l’hôpital général.
Enfin, la quasi-totalité des secteurs sont en relation avec les médecins traitants des patients, mais ces relations sont plus fréquentes lorsqu’il s’agit de psychiatres.