Résumé
En 2014, les médecins libéraux ont perçu en moyenne un revenu d’activité de 112 000 euros, nettement plus élevé pour les spécialistes (141 000 euros) que pour les omnipraticiens (86 000 euros). Entre spécialités, des écarts de revenus moyens importants existent, et cette hiérarchie perdure.
Entre 2011 et 2014, les revenus des médecins ont progressé en moyenne de 0,3 % par an, mais ceux des spécialistes installés en secteur 2 ont diminué dans la même proportion. Le changement de régime fiscal des dividendes a en effet entraîné une baisse de la rémunération des médecins de secteur 2 installés en société d’exercice libéral, particulièrement marquée pour les 1 % les mieux rémunérés.
Depuis 2005, les revenus des omnipraticiens ont progressé en moyenne de 0,6 % par an, ceux des spécialistes de 1,0 %, en secteur 1 comme en secteur 2. La proportion croissante de spécialistes exerçant en secteur 2, où les revenus sont plus élevés, peut à elle seule générer une nette hausse de leurs revenus.
La composante libérale du revenu d’activité a progressé en 2015. Cette croissance a été plus forte que les années précédentes, particulièrement pour les spécialistes (+3,4 % en un an) et notamment les radiologues (+5,0 %).
Entre 2011 et 2014, les revenus des médecins ont progressé en moyenne de 0,3 % par an, mais ceux des spécialistes installés en secteur 2 ont diminué dans la même proportion. Le changement de régime fiscal des dividendes a en effet entraîné une baisse de la rémunération des médecins de secteur 2 installés en société d’exercice libéral, particulièrement marquée pour les 1 % les mieux rémunérés.
Depuis 2005, les revenus des omnipraticiens ont progressé en moyenne de 0,6 % par an, ceux des spécialistes de 1,0 %, en secteur 1 comme en secteur 2. La proportion croissante de spécialistes exerçant en secteur 2, où les revenus sont plus élevés, peut à elle seule générer une nette hausse de leurs revenus.
La composante libérale du revenu d’activité a progressé en 2015. Cette croissance a été plus forte que les années précédentes, particulièrement pour les spécialistes (+3,4 % en un an) et notamment les radiologues (+5,0 %).