Résumé
Les Français sont plutôt satisfaits de la qualité générale des soins de santé, par rapport à leurs voisins européens. Selon le Baromètre d’opinion de la DREES, cet avis est néanmoins contrasté selon les types de soins : si, en 2013, environ 80 % des Français ont une bonne opinion de la qualité des soins chez les dentistes et les médecins, la part s’élève à 65 % à l’hôpital public (hors urgences), à 60 % en clinique privée et à 55 % pour les urgences hospitalières. Ce résultat dépend également de la région d’habitation : les habitants du Bassin parisien et de l’Est de la France ont tendance à être plus critiques envers la qualité des soins à l’hôpital public et en clinique privée.
Pour l’accessibilité aux soins, les taux de satisfaction sont plus faibles, en particulier pour les dentistes et les médecins avec 70 % de satisfaits, et en baisse de 10 points en cinq ans. Les Français, pour la première fois en 2012 et 2013, considèrent les inégalités d’accès aux soins comme les moins acceptables.
En outre, seuls 40 % d’entre eux sont persuadés qu’on bénéficie de la même qualité de soins quel que soit son revenu ou son lieu d’habitation. Et 70 % estiment que l’accès aux soins est identique indépendamment de ces deux critères. Concernant les délais d’attente, s’ils sont 60 % à trouver que le niveau de revenu n’a pas d’incidence, ils ne sont que 40 % à le penser pour le lieu d’habitation.
Pour l’accessibilité aux soins, les taux de satisfaction sont plus faibles, en particulier pour les dentistes et les médecins avec 70 % de satisfaits, et en baisse de 10 points en cinq ans. Les Français, pour la première fois en 2012 et 2013, considèrent les inégalités d’accès aux soins comme les moins acceptables.
En outre, seuls 40 % d’entre eux sont persuadés qu’on bénéficie de la même qualité de soins quel que soit son revenu ou son lieu d’habitation. Et 70 % estiment que l’accès aux soins est identique indépendamment de ces deux critères. Concernant les délais d’attente, s’ils sont 60 % à trouver que le niveau de revenu n’a pas d’incidence, ils ne sont que 40 % à le penser pour le lieu d’habitation.