Environ quatre jeunes adultes sur dix, âgés de 18 à 25 ans, ne vivent pas habituellement chez leurs parents.
Globalement plus âgés, plus diplômés et donc mieux insérés dans le marché du travail que l’ensemble des jeunes adultes, 84 % de ces jeunes dits « non cohabitants » ont perçu en moyenne des revenus du travail au cours de l’année précédant l’enquête (2005-2010).
Le caractère transitoire de leur situation et les difficultés spécifiques liées à la mesure de leur niveau de vie rendent moins pertinente la définition de la pauvreté monétaire : les jeunes non cohabitants apparaissent deux fois plus souvent pauvres monétairement que l’ensemble des adultes d’âge actif, mais ils n’expriment pas plus souvent que les 18-64 ans des difficultés à boucler leurs fins de mois.
Par rapport au reste de la population, les difficultés rencontrées par les jeunes non cohabitants se manifestent principalement dans les retards de paiement et les conditions de logement. Les non-cohabitants sans diplôme ou faiblement diplômés cumulent le plus de difficultés.
Globalement plus âgés, plus diplômés et donc mieux insérés dans le marché du travail que l’ensemble des jeunes adultes, 84 % de ces jeunes dits « non cohabitants » ont perçu en moyenne des revenus du travail au cours de l’année précédant l’enquête (2005-2010).
Le caractère transitoire de leur situation et les difficultés spécifiques liées à la mesure de leur niveau de vie rendent moins pertinente la définition de la pauvreté monétaire : les jeunes non cohabitants apparaissent deux fois plus souvent pauvres monétairement que l’ensemble des adultes d’âge actif, mais ils n’expriment pas plus souvent que les 18-64 ans des difficultés à boucler leurs fins de mois.
Par rapport au reste de la population, les difficultés rencontrées par les jeunes non cohabitants se manifestent principalement dans les retards de paiement et les conditions de logement. Les non-cohabitants sans diplôme ou faiblement diplômés cumulent le plus de difficultés.