Résumé
L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier 2013 a généralisé la couverture complémentaire santé d’entreprise à l’ensemble des établissements employeurs de droit privé et a imposé des niveaux de garanties planchers et un cofinancement des contrats par l’employeur à hauteur de 50 % au minimum. Les établissements devaient se conformer à cette obligation avant le 1er janvier 2016.
Selon l’enquête Protection sociale complémentaire d’entreprise (PSCE), plus d’un établissement sur deux a mis en place ou modifié une couverture existante, du fait de l’ANI. Si bien qu’en 2017, 84 % des établissements regroupant 96 % des salariés offrent une couverture complémentaire santé contre la moitié des établissements avant l’ANI.
Les établissements qui demeurent non couverts sont très souvent de petites structures dans lesquelles tous les salariés ont fait valoir une dispense d’adhésion. Les établissements nouvellement couverts se tournent davantage vers les sociétés d’assurances. Alors que les branches d’activité pouvaient recommander un organisme, plus de la moitié des établissements concernés n’ont pas suivi ces recommandations. Enfin, la participation financière de l’employeur est restée stable par rapport à 2009, année de la précédente édition de PSCE.
Selon l’enquête Protection sociale complémentaire d’entreprise (PSCE), plus d’un établissement sur deux a mis en place ou modifié une couverture existante, du fait de l’ANI. Si bien qu’en 2017, 84 % des établissements regroupant 96 % des salariés offrent une couverture complémentaire santé contre la moitié des établissements avant l’ANI.
Les établissements qui demeurent non couverts sont très souvent de petites structures dans lesquelles tous les salariés ont fait valoir une dispense d’adhésion. Les établissements nouvellement couverts se tournent davantage vers les sociétés d’assurances. Alors que les branches d’activité pouvaient recommander un organisme, plus de la moitié des établissements concernés n’ont pas suivi ces recommandations. Enfin, la participation financière de l’employeur est restée stable par rapport à 2009, année de la précédente édition de PSCE.