Résumé
En France, l’année 2016 est marquée par le ralentissement du PIB en valeur (+1,6 % après +2,2 %), accompagné d’une très faible inflation (+0,2 %) et d’une moindre hausse du nombre de chômeurs indemnisés.
Dans ce contexte économique, les dépenses de protection sociale augmenteraient de 1,7 %, soit un rythme proche du PIB, tandis que les ressources seraient légèrement plus dynamiques (+1,9 %). De ce fait, selon ces données provisoires, le déficit de la protection sociale continuerait de se résorber : il serait ramené à 3,9 milliards d’euros en 2016, contre 5,1 milliards en 2015 et 7,7 milliards en 2014.
Le montant servi au titre des prestations de protection sociale, qui représentent à elles seules 94 % du total des dépenses, s’élèverait à 714,0 milliards d’euros en 2016. Il augmenterait ainsi de 1,8 %, après +1,6 % en 2015. Les prestations de santé et de vieillesse-survie progresseraient pratiquement au même rythme qu’en 2015, tandis que la croissance des prestations des autres risques sociaux serait un peu plus soutenue en 2016 qu’en 2015.
Dans ce contexte économique, les dépenses de protection sociale augmenteraient de 1,7 %, soit un rythme proche du PIB, tandis que les ressources seraient légèrement plus dynamiques (+1,9 %). De ce fait, selon ces données provisoires, le déficit de la protection sociale continuerait de se résorber : il serait ramené à 3,9 milliards d’euros en 2016, contre 5,1 milliards en 2015 et 7,7 milliards en 2014.
Le montant servi au titre des prestations de protection sociale, qui représentent à elles seules 94 % du total des dépenses, s’élèverait à 714,0 milliards d’euros en 2016. Il augmenterait ainsi de 1,8 %, après +1,6 % en 2015. Les prestations de santé et de vieillesse-survie progresseraient pratiquement au même rythme qu’en 2015, tandis que la croissance des prestations des autres risques sociaux serait un peu plus soutenue en 2016 qu’en 2015.