Résumé
En 2016, à l’issue de la première édition des épreuves classantes nationales (ECN) informatisées, 7 700 étudiants ont été affectés.
Cette promotion est moins nombreuse qu’attendu : en 2015, ils étaient 8 500 étudiants à satisfaire aux épreuves. Cette année-là, une partie d’entre eux, anticipant l’informatisation des épreuves, ont probablement préféré se confronter à un format d’épreuve connu plutôt que d’utiliser les possibilités permettant de passer les ECN l’année suivante.
Depuis 2011, les voies parallèles d’admission prennent une place croissante : près de 700 candidats sont issus des passerelles, du numerus clausus complémentaire ou sont titulaires d’un second cycle européen.
L’ophtalmologie reste la spécialité la plus prisée : pour l’obtenir, il faut se situer parmi les 30 % d’étudiants les mieux classés. À l’inverse, cinq spécialités n’ont pas pourvu l’ensemble des postes ouverts, et en 2016 la médecine du travail peine particulièrement à recruter.
Plus de la moitié des étudiants sont affectés dans une subdivision qui n’est pas celle où ils ont effectué leur second cycle. Parmi ces étudiants, près de 40 % ont ainsi obtenu une spécialité que leur classement ne leur aurait pas permis d’obtenir dans leur subdivision d’origine.
Cette promotion est moins nombreuse qu’attendu : en 2015, ils étaient 8 500 étudiants à satisfaire aux épreuves. Cette année-là, une partie d’entre eux, anticipant l’informatisation des épreuves, ont probablement préféré se confronter à un format d’épreuve connu plutôt que d’utiliser les possibilités permettant de passer les ECN l’année suivante.
Depuis 2011, les voies parallèles d’admission prennent une place croissante : près de 700 candidats sont issus des passerelles, du numerus clausus complémentaire ou sont titulaires d’un second cycle européen.
L’ophtalmologie reste la spécialité la plus prisée : pour l’obtenir, il faut se situer parmi les 30 % d’étudiants les mieux classés. À l’inverse, cinq spécialités n’ont pas pourvu l’ensemble des postes ouverts, et en 2016 la médecine du travail peine particulièrement à recruter.
Plus de la moitié des étudiants sont affectés dans une subdivision qui n’est pas celle où ils ont effectué leur second cycle. Parmi ces étudiants, près de 40 % ont ainsi obtenu une spécialité que leur classement ne leur aurait pas permis d’obtenir dans leur subdivision d’origine.