Résumé
Résultats Provisoires
Les hôpitaux publics ont connu à nouveau en 2003 une légère réduction de leur activité en hospitalisation complète, avec une diminution de 0,6 % du nombre d’entrées et de 0,8 % du nombre de journées d’hospitalisation. En soins de courte durée, le recul du nombre d’entrées de 0,6 % est similaire à celui de l’année précédente. Celui du nombre de journées d’hospitalisation de 1,3 % est en revanche plus net. Le nombre d’entrées diminue notamment en médecine et en chirurgie de 0,9 % et 0,6 %, alors qu’il augmente en gynécologie - obstétrique de 1,1 %. Le nombre de journées d’hospitalisation diminue quant à lui dans toutes ces disciplines (respectivement de 1,0 %, 1,9 % et 1,6 %).
En psychiatrie, malgré un recul prononcé du nombre d’entrées au quatrième trimestre (-5,3 %), en moyenne sur l’année 2003, le nombre d’entrées est en hausse sensible (+3,6 %). À l’inverse, le nombre de journées d’hospitalisation accentue sa diminution, conséquence d’une prise en charge plus fractionnée et plus courte des patients. En soins de suite et réadaptation, on observe une diminution assez marquée de l’activité dans les hôpitaux publics par rapport à l’année 2002, aussi bien pour les entrées (-4,0 %) que pour les journées d’hospitalisation (-3,6 %), surtout dans les centres hospitaliers. Enfin, l’hospitalisation partielle, mesurée en nombre de venues, connaît un régime de croissance plus modérée qu’à la fin des années quatre-vingt-dix avec 0,8 % de hausse en 2003.
Après la diminution de l’activité des établissements privés sous dotation globale constatée en 2002, le nombre d’entrées se stabilise en soins de courte durée et en hospitalisation complète. Le nombre de journées d’hospitalisation diminue encore mais de façon plus modérée qu’en 2002 ainsi que l’activité en hospitalisation partielle. Les établissements privés sous objectif quantifié national enregistrent quant à eux un léger recul dans tous les compartiments de leur activité, excepté en hospitalisation partielle avec une croissance soutenue de 4,1 %.
Les hôpitaux publics ont connu à nouveau en 2003 une légère réduction de leur activité en hospitalisation complète, avec une diminution de 0,6 % du nombre d’entrées et de 0,8 % du nombre de journées d’hospitalisation. En soins de courte durée, le recul du nombre d’entrées de 0,6 % est similaire à celui de l’année précédente. Celui du nombre de journées d’hospitalisation de 1,3 % est en revanche plus net. Le nombre d’entrées diminue notamment en médecine et en chirurgie de 0,9 % et 0,6 %, alors qu’il augmente en gynécologie - obstétrique de 1,1 %. Le nombre de journées d’hospitalisation diminue quant à lui dans toutes ces disciplines (respectivement de 1,0 %, 1,9 % et 1,6 %).
En psychiatrie, malgré un recul prononcé du nombre d’entrées au quatrième trimestre (-5,3 %), en moyenne sur l’année 2003, le nombre d’entrées est en hausse sensible (+3,6 %). À l’inverse, le nombre de journées d’hospitalisation accentue sa diminution, conséquence d’une prise en charge plus fractionnée et plus courte des patients. En soins de suite et réadaptation, on observe une diminution assez marquée de l’activité dans les hôpitaux publics par rapport à l’année 2002, aussi bien pour les entrées (-4,0 %) que pour les journées d’hospitalisation (-3,6 %), surtout dans les centres hospitaliers. Enfin, l’hospitalisation partielle, mesurée en nombre de venues, connaît un régime de croissance plus modérée qu’à la fin des années quatre-vingt-dix avec 0,8 % de hausse en 2003.
Après la diminution de l’activité des établissements privés sous dotation globale constatée en 2002, le nombre d’entrées se stabilise en soins de courte durée et en hospitalisation complète. Le nombre de journées d’hospitalisation diminue encore mais de façon plus modérée qu’en 2002 ainsi que l’activité en hospitalisation partielle. Les établissements privés sous objectif quantifié national enregistrent quant à eux un léger recul dans tous les compartiments de leur activité, excepté en hospitalisation partielle avec une croissance soutenue de 4,1 %.