Résumé
En 2004, le chiffre d’affaires des cliniques privées sous Objectif quantifié national a augmenté à champ constant de 7,7 %, soit un rythme de croissance élevé mais inférieur de 0,9 point à celui observé en 2003. Cette hausse est surtout soutenue dans le secteur de Médecine-chirurgie-obstétrique (MCO), et plus particulièrement dans les polycliniques.
La rentabilité économique de l’ensemble des cliniques croît assez sensiblement et s’établit à 1,8 % du chiffre d’affaires. Cette amélioration (+ 0,5 point) est générale, même si elle touche davantage le secteur de MCO (+ 0,7 point), les polycliniques (+ 0,7 point), ainsi que les cliniques spécialisées en soins de suite et de réadaptation (+ 0,8 point).
Parallèlement, la situation financière générale des cliniques s’est améliorée en 2004. Leur rentabilité financière atteint ainsi 9,6 % et connaît une hausse de 2,2 points par rapport à 2003. Cela se traduit également par une diminution de leur endettement et une progression de leur trésorerie.
La rentabilité économique médiane des cliniques de la zone du Sud-Est est plus élevée, tandis que les établissements des zones du Nord-Est et de l’Ouest connaissent des taux de rentabilité plus faibles.
La rentabilité économique de l’ensemble des cliniques croît assez sensiblement et s’établit à 1,8 % du chiffre d’affaires. Cette amélioration (+ 0,5 point) est générale, même si elle touche davantage le secteur de MCO (+ 0,7 point), les polycliniques (+ 0,7 point), ainsi que les cliniques spécialisées en soins de suite et de réadaptation (+ 0,8 point).
Parallèlement, la situation financière générale des cliniques s’est améliorée en 2004. Leur rentabilité financière atteint ainsi 9,6 % et connaît une hausse de 2,2 points par rapport à 2003. Cela se traduit également par une diminution de leur endettement et une progression de leur trésorerie.
La rentabilité économique médiane des cliniques de la zone du Sud-Est est plus élevée, tandis que les établissements des zones du Nord-Est et de l’Ouest connaissent des taux de rentabilité plus faibles.