Résumé
L’état de santé des jeunes adultes est très satisfaisant en moyenne : près de neuf jeunes de 18 à 24 ans sur dix se perçoivent en bonne ou très bonne santé et ils déclarent peu de maladies chroniques (14 %) ou de restrictions d’activités (8 %).
Pour la première fois, l’enquête nationale sur les ressources des jeunes, permet d’aller au-delà de ce constat général et d’éclairer la situation de groupes particuliers en matière de santé perçue, de couverture et de recours aux soins en les comparant à l’ensemble des jeunes adultes.
Les jeunes chômeurs ou inactifs (hors étudiants) et les jeunes cumulant emploi et études déclarent ainsi un moins bon état de santé perçu. C’est aussi le cas pour les jeunes les moins diplômés et ceux qui n’habitent plus chez leurs parents.
Ces écarts s’observent également pour la couverture par une complémentaire santé et pour le renoncement aux soins. Si 92 % des jeunes sont couverts par une complémentaire, ils ne sont que 85 % parmi les jeunes chômeurs ou inactifs. Ces derniers déclarent plus souvent avoir renoncé à des soins pour raisons financières au cours des douze derniers mois : 7 % ont ainsi renoncé à consulter un médecin, et 6 % un dentiste, contre 4 % de l’ensemble des jeunes adultes pour chacun de ces professionnels de santé.
Pour la première fois, l’enquête nationale sur les ressources des jeunes, permet d’aller au-delà de ce constat général et d’éclairer la situation de groupes particuliers en matière de santé perçue, de couverture et de recours aux soins en les comparant à l’ensemble des jeunes adultes.
Les jeunes chômeurs ou inactifs (hors étudiants) et les jeunes cumulant emploi et études déclarent ainsi un moins bon état de santé perçu. C’est aussi le cas pour les jeunes les moins diplômés et ceux qui n’habitent plus chez leurs parents.
Ces écarts s’observent également pour la couverture par une complémentaire santé et pour le renoncement aux soins. Si 92 % des jeunes sont couverts par une complémentaire, ils ne sont que 85 % parmi les jeunes chômeurs ou inactifs. Ces derniers déclarent plus souvent avoir renoncé à des soins pour raisons financières au cours des douze derniers mois : 7 % ont ainsi renoncé à consulter un médecin, et 6 % un dentiste, contre 4 % de l’ensemble des jeunes adultes pour chacun de ces professionnels de santé.