Comme cela s’observe depuis 1997, c’est encore le médicament qui contribue le plus en 2005 à la croissance de la consommation en volume, suivi par le secteur hospitalier et les soins ambulatoires. La part de la Sécurité sociale et des organismes complémentaires dans le financement des dépenses de santé diminue de 0,27 point en 2005, le reste à charge des ménages augmentant à due proportion (+8,74 % contre +8,47 % en 2004).
La dépense nationale de santé, agrégat retenu pour les comparaisons internationales, représente 10,6 % du PIB en 2005 (+0,1 point par rapport à 2004). En 2004, avec un ratio de 10,5 %, la France se situait en quatrième position des pays de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).
- Fenina, A., Geffroy, Y. (2006, janvier). Comptes nationaux de la santé 2005. Paris, France : DREES, coll. Études et statistiques.