Résumé
222 500 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France en 2011, dont 209 300 en Métropole. Ce nombre est stable depuis 2006, après une dizaine d’années de hausse entre 1995 et 2006. D’après les données provisoires, les IVG n’ont pas augmenté non plus au cours des derniers mois de 2012.
Le taux de recours en 2011 est, en moyenne, de 15,1 IVG pour 1 000 femmes. Il demeure le plus élevé chez les femmes âgées de 20 à 24 ans (27 pour 1 000).
Les écarts régionaux perdurent, avec des taux plus élevés qu’ailleurs dans les départements d’outre-mer (DOM), en Île-de-France et dans le sud de la France.
La part des IVG médicamenteuses continue d’augmenter. Elle atteint, en Métropole, 48 % des IVG réalisées en établissements de santé (43 % dans les DOM) et 55 % (54 % dans les DOM) de l’ensemble des IVG. En 2011, en Métropole, 13 % des IVG sont réalisées en cabinet libéral (contre 20 % dans les DOM), et seulement 1 % en centres de santé, en centres de planification ou d’éducation familiale, comme cela est autorisé depuis mai 2009.
Le taux de recours en 2011 est, en moyenne, de 15,1 IVG pour 1 000 femmes. Il demeure le plus élevé chez les femmes âgées de 20 à 24 ans (27 pour 1 000).
Les écarts régionaux perdurent, avec des taux plus élevés qu’ailleurs dans les départements d’outre-mer (DOM), en Île-de-France et dans le sud de la France.
La part des IVG médicamenteuses continue d’augmenter. Elle atteint, en Métropole, 48 % des IVG réalisées en établissements de santé (43 % dans les DOM) et 55 % (54 % dans les DOM) de l’ensemble des IVG. En 2011, en Métropole, 13 % des IVG sont réalisées en cabinet libéral (contre 20 % dans les DOM), et seulement 1 % en centres de santé, en centres de planification ou d’éducation familiale, comme cela est autorisé depuis mai 2009.