Résumé
En 2012, près de 219 200 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 207 000 en Métropole. Leur nombre est relativement stable depuis une dizaine d’années, avec des fluctuations à la hausse ou à la baisse. Il a baissé en 2011 (209 000) et en 2012 par rapport à 2010 (213 000).
Le taux de recours est de 14,5 IVG pour
1 000 femmes en Métropole. Les femmes de 20 à 24 ans restent les plus concernées, avec un taux de recours de 27 IVG pour 1 000 femmes, tandis que les taux diminuent légèrement chez les moins de 20 ans. Les écarts régionaux perdurent, avec des recours plus élevés en Île-de-France et dans le sud de la France. Le recours est deux fois plus élevé en Provence – Alpes-Côte d’Azur que dans les Pays de la Loire.
Les IVG médicamenteuses représentent 49 % des IVG réalisées en établissements et 57 % du total des IVG en Métropole. Les IVG pratiquées hors établissements représentent 15 % du total des IVG en Métropole et 22 % dans les DOM, où pourtant la pratique des IVG en centres de santé, centres de planification ou d’éducation familiale ne s’est pas répandue.
Le taux de recours est de 14,5 IVG pour
1 000 femmes en Métropole. Les femmes de 20 à 24 ans restent les plus concernées, avec un taux de recours de 27 IVG pour 1 000 femmes, tandis que les taux diminuent légèrement chez les moins de 20 ans. Les écarts régionaux perdurent, avec des recours plus élevés en Île-de-France et dans le sud de la France. Le recours est deux fois plus élevé en Provence – Alpes-Côte d’Azur que dans les Pays de la Loire.
Les IVG médicamenteuses représentent 49 % des IVG réalisées en établissements et 57 % du total des IVG en Métropole. Les IVG pratiquées hors établissements représentent 15 % du total des IVG en Métropole et 22 % dans les DOM, où pourtant la pratique des IVG en centres de santé, centres de planification ou d’éducation familiale ne s’est pas répandue.