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Le suivi des trois premières années de carrière des diplômés des professions sociales de l’année 2001 permet d’apprécier leur insertion professionnelle à l’issue de leur formation et de la comparer aux autres diplômés de niveau équivalent. Les diplômés des formations sociales de niveaux III et IV sont majoritairement des femmes et sont relativement plus âgés que les autres diplômés de même niveau.
En 2004, les formations aux professions sociales comptaient plus de 50 000 étudiants. Parmi eux, 23 % se destinent au métier d’éducateur spécialisé, 19 %, à celui d’aide médico-psychologique et 16 % se préparent à devenir assistant de service social.
En collaboration avec le ministère de l’Éducation nationale (Direction de la programmation et du développement), une enquête annuelle est réalisée auprès des écoles de formation aux professions sociales sous tutelle du Ministère de l’Emploi, de la cohésion sociale et du logement et du ministère de la Santé et des solidarités.
Les omnipraticiens ont une activité, en nombre d’actes effectués comme en honoraires, en augmentation depuis 1988. Cette publication analyse l’influence de différents facteurs (ancienneté, région, secteur, genre...) sur cette activité.
La présente étude a pour but d’examiner la trajectoire de l’insertion professionnelle des jeunes infirmiers diplômés d’État de la génération 2001 : les caractéristiques individuelles et familiales, celles de leur insertion professionnelle, les différentes situations traversées entre 2001 et 2004, la rémunération et les opinions que les infirmiers se font de leur métier.
En 2001 et 2002, compte tenu du Mécanisme d’Incitation à la Cessation d’Activité (MICA), l’âge moyen de cessation d’activité des médecins a été de 65,1 ans, les médecins libéraux connaissant davantage de départs à la fois plus précoces mais aussi plus tardifs que les médecins salariés. Les femmes ainsi que les généralistes ont cessé leur activité plus jeunes, à respectivement 64,2 ans et 64,3 ans.
Suite aux épreuves classantes nationales de 2005, 80 % des postes ouverts en troisième cycle des études médicales pour la rentrée universitaire 2005-2006 ont été pourvus, contre 84 % suite aux ECN 2004. Comme l'an dernier, 5 % des candidats ne se sont pas présentés aux épreuves et 8 % n'ont pas été affectés en l'absence de validation de leur deuxième cycle.
Les études d'infirmier donnent lieu à des quotas d'entrée en formation qui, au niveau national, ont quasiment doublé en dix ans, passant d'environ 16 000 en 1997-1998 à 30 000 en 2003-2004. En 2004, on dénombrait 332 Instituts de formation aux soins infirmiers (IFSI) avec, dans certaines régions, des difficultés à pourvoir les places de formation ouvertes.
L’étude vise à mieux comprendre comment sont formés les médecins, en accordant à la notion de formation le sens d’un apprentissage autant que celui d’un « modelage ». Au cours des études, les représentations des étudiants en médecine évoluent...
En 2004, les futurs médecins ont accédé au troisième cycle des études médicales essentiellement via les Épreuves Classantes Nationales de médecine, qui remplacent les concours d’internat. En fonction de leur rang de classement et des postes ouverts par les décideurs publics, les futurs médecins ont pu choisir un poste d’interne soit, une discipline dans un lieu géographique de formation.
